Déprogrammation des interventions pédiatriques : des interventions, déjà annulées lors des précédentes vagues, sont à nouveau déprogrammées. La cheffe du service pédiatrique viscéral et urologique du CH de Necker, cite en exemple les malformations urinaires, des interventions non urgentes mais qui, à force d’infections à répétition, peuvent avoir des répercussions sur la santé des patients, notamment les enfants. “À force d’être reportées, parfois, les patients ont attendu un an et demi, donc ils se sont infectés avec de la morbidité. Et puis, je pense qu’on peut dire que certains enfants ont perdu de la fonction rénale.